Tutorial Jobeet pour Symfony 4 - Partie 4A: Le contrôleur et la vue

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Nous avons jusqu’à présent entrevu le fonctionnement de Doctrine en créant une base de données et en y insérant un jeu de données afin d’avoir des données initiales, nous évitant ainsi d’avoir une application vide. Nous allons maintenant pouvoir commencer à afficher nos premières pages web.

Un projet Symfony repose sur le pattern MVC (Model View Controller ou Model Vue Contrôleur en français). Ce type d’architecture permet d’organiser le code en le séparant en trois couches :

  • La couche modèle contenant le traitement logique de vos données (on y retrouve les traitements métier, les accès à la base de données, …).
  • La vue est la modélisation de l’IHM (Interface Homme Machine). Elle représente ce qui est rendu à l’utilisateur (sous la forme d’une page Web, d’une commande d’un terminal, de données JSON/XML, …).
  • Le contrôleur correspond au code faisant le lien entre le modèle et la vue. Il récupère les données utilisateurs pour y appliquer les traitements et donner les résultats à la vue. Démarrons par ce dernier. Comme nous venons brièvement de le dire, le contrôleur est la couche qui va exécuter les traitements liés à notre application et transmettre les résultats à la vue pour que ces derniers puissent être affichés à l’utilisateur. Dans notre projet Web, cela va se matérialiser par des classes qui vont contenir des fonctions qui seront appelées en fonction d’une URL. Ces dernières renverront un objet de type Symfony\Component\HttpFoundation\Response qui est l’abstraction d’une réponse HTTP dans Symfony.

Ecrivons un premier contrôleur que nous allons nommer DefaultController et que nous allons placer dans le répertoire src/Controller. Ce dernier, contiendra une fonction qui permettra d’afficher un message dans le navigateur.

<?php // src/Controller/DefaultController.php

namespace App\Controller;

use Symfony\Component\HttpFoundation\Response;

class DefaultController
{
    public function index(): Response
    {
        return new Response('Accueil Jobeet - Hello');
    }
}

Pour tester ce code, nous allons devoir indiquer au framework comment accéder à ce contrôleur. Pour cela nous allons éditer le fichier config/routes.yaml. Sans rentrer dans les détails (car c’est le sujet du prochain chapitre), ce fichier permet d’indiquer à Symfony l’URL qui déclenchera l’appel de la méthode index de notre contrôleur.

Pour le moment, décommentons simplement les 3 premières lignes :

# config/routes.yaml

index:
    path: /
    defaults: { _controller: 'App\Controller\DefaultController::index' }

# Depends on sensio/framework-extra-bundle, doctrine/annotations, and doctrine/cache
#   install with composer req sensio/framework-extra-bundle annot
#controllers:
#    resource: ../src/Controller/
#    type: annotation

Nous pouvons maintenant démarrer notre serveur Web via l’exécution de la commande make serve bin/console server:run dans un terminal et se rendre à l’adresse http://localhost:8000 avec son navigateur pour visualiser le résultat.

Pour pouvoir exécuter les différents traitements de notre application, le contrôleur doit pouvoir récupérer les données saisies par les utilisateurs. Dans un environnement Web, ces informations sont transmises par le navigateur au sein d’une requête HTTP.

Symfony utilise un composant HttpFoundation, dont l’objectif est de fournir une couche objet permettant de travailler avec le protocole HTTP. Nous avons, dans les exemples précédents, déjà utilisé un objet Response issue de ce composant. Nous allons maintenant utiliser un objet Symfony\Component\HttpFoundation\Request nous permettant d’accéder à toutes les informations d’une requête HTTP.

Pour ce faire, Symfony passe automatiquement en paramètre une instance d’un objet Request aux actions de nos contrôleurs si le paramètre est présent (Symfony détecte automatiquement la variable grâce à son typage).

Complétons notre code précédent pour récupérer un paramètre name et afficher le nom de la personne à saluer.

<?php // src/Controller/DefaultController.php

namespace App\Controller;

use Symfony\Component\HttpFoundation\Request;
use Symfony\Component\HttpFoundation\Response;

class DefaultController
{
    public function index(Request $request): Response
    {
        return new Response('Accueil Jobeet - Hello '.$request->get('name', 'World'));
    }
}

Dans cet exemple, nous utilisons la méthode Request::get pour récupérer un paramètre de la requête. Ce paramètre peut être transmis via l’URL ou au travers d’une requête de type POST. S’il n’est présent dans aucun des cas, nous avons choisi ici de retourner la valeur par défaut “World”. La valeur par défaut est facultative, si rien n’est spécifié et que le paramètre n’est pas présent NULL sera renvoyé.

Intéressons-nous maintenant à la couche vue. C’est cette dernière qui renvoie et met en forme les informations qui seront affichées à l’utilisateur. Le format de retour des données dépend de plusieurs paramètres dont le contexte d’utilisation. Dans le cas d’une navigation Web classique, l’application va retourner des données au format HTML, alors que dans le cas d’une API, les données pourraient être renvoyées au format JSON, XML ou n’importe quel autre format. Dans ce cas chapitre nous allons travailler exclusivement avec des pages HTML.

Comme nous l’avons déjà évoqué auparavant, Symfony 4 laisse libre le développeur de choisir les outils qu’il souhaite utiliser. Le framework ne prend aucun parti pris. De ce fait et contrairement aux versions précédentes, Symfony n’est plus fourni avec un moteur de templating par défaut.

Les moteurs de templating simplifient le travail d’écriture HTML en améliorant la lisibilité du code, son organisation et sa maintenance. Ces derniers sont généralement fournis avec un ensemble de fonctions de haut niveau permettant entre autres d’afficher des variables PHP, de créer des macros, d’utiliser des structures de boucles et de contrôles, etc.

Dans ce tutorial, nous avons fait le choix d’utiliser Twig. Twig a été créé par l’agence SensioLabs, les créateurs du framework Symfony. Ce moteur de templating était jusqu’à maintenant celui qui était fourni par défaut avec le framework. Sa simplicité et sa puissance en font le moteur le plus populaire PHP.

Avant de pouvoir commencer à nous servir de Twig dans notre projet, nous allons devoir installer les dépendances nécessaires. Pour fonctionner dans notre projet Symfony, plusieurs composants sont requis :

  • Twig: le moteur de template en lui-même. Ce dernier n’est pas couplé à Symfony et peut ainsi être réutilisé dans n’importe quel projet (avec ou sans framework).
  • TwigBridge: permet d’intégrer des nouvelles fonctionnalités au moteur de template qui sont liées aux différents composants du framework (formulaires, internationalisation, …).
  • TwigBundle: l’intégration du moteur Twig dans Symfony.

Comme pour toute dépendance PHP, nous allons utiliser Composer (et Symfony Flex) pour installer Twig. Nous allons ainsi demander l’installation de symfony/twig-bundle. Ce dernier ayant besoin des deux autres composants pour fonctionner, toutes les dépendances requises au fonctionnement de Twig dans notre projet seront mises en place.

$ composer require symfony/twig-bundle

Using version ^3.3 for symfony/twig-bundle
./composer.json has been updated
Loading composer repositories with package information
Updating dependencies (including require-dev)
Package operations: 3 installs, 0 updates, 0 removals
  - Installing twig/twig (v2.4.3): Loading from cache
  - Installing symfony/twig-bridge (v3.3.9): Downloading (100%)
  - Installing symfony/twig-bundle (v3.3.9): Downloading (100%)
Writing lock file
Generating autoload files
Symfony operations: 1 recipe
  - Configuring symfony/twig-bundle (3.3): From github.com/symfony/recipes:master
Executing script make cache-warmup [OK]
Executing script assets:install --symlink --relative public [OK]

Il est également possible d’utiliser une notation raccourcie pour installer Twig au travers de la commande composer require twig. Cela est possible grace à Symfony Flex qui permet de définir des noms alternatifs à des dépendances Composer. Dans le chapitre précédent, nous aurions pu utiliser la commande composer require orm pour installer Doctrine, cette dernière commande étant un alias de la commande composer require orm/pack.

Maintenant que Twig est installé, nous allons pouvoir créer et afficher notre premier template. Pour cela, nous allons commencer par injecter le moteur de templating dans notre contrôleur. Nous pourrons ensuite, utiliser ce dernier depuis nos actions pour récupérer le rendu de nos templates.

<?php // src/Controller/DefaultController.php

namespace App\Controller;

use Symfony\Component\HttpFoundation\Request;
use Symfony\Component\HttpFoundation\Response;
use Twig\Environment;

class DefaultController
{
    private $twig;

    public function __construct(Environment $twig)
    {
        $this->twig = $twig;
    }

    public function index(Request $request): Response
    {
        return new Response($this->twig->render('home.html.twig', [
            'name' => $request->get('name', 'World')
        ]));
    }
}

Notez qu’il n’est pas nécessaire de faire quoi que ce soit pour injecter notre objet Twig\Environment dans le constructeur de notre contrôleur. Le composant d’injection de dépendance de Symfony utilise l’autowiring pour injecter notre dépendance automatiquement.

Au moment de l’installation de Twig, Flex a préparé un dossier template à la racine de notre projet et a automatiquement configuré Twig pour que ce dernier aille chercher nos vues dans ce répertoire. Nous allons donc y créer un fichier home.html.twig.

# templates/home.html.twig
Hello {{ name }}

Pour afficher les variables que nous avons passé à notre template Twig, il faut utiliser la syntaxe {{ variable }}. Pour afficher le contenu de notre template, nous appelons la méthode render de Twig et passons le résultat à notre objet Response pour que le résultat puisse être retourné à l’utilisateur. Pour afficher le résultat de notre vue, cette syntaxe est un peu longue. Effectivement, nous allons devoir injecter dans chacun de nos contrôleurs une instance de Twig, récupérer le contenu d’un template et créer la réponse associée. Heureusement, Symfony met à notre disposition des outils pour simplifier notre travail et surtout mutualiser ce code au travers de la classe AbstractController. Cette dernière met à disposition une méthode render qui récupérera automatiquement une instance de Twig et créera notre objet Response en un appel de méthode.

Notre contrôleur peut ainsi être réécrit de la manière suivante :

<?php  // src/Controller/DefaultController.php

namespace App\Controller;

use Symfony\Bundle\FrameworkBundle\Controller\AbstractController;
use Symfony\Component\HttpFoundation\Request;
use Symfony\Component\HttpFoundation\Response;

class DefaultController extends AbstractController
{
    public function index(Request $request): Response
    {
        return $this->render('home.html.twig', [
            'name' => $request->get('name', 'World')
        ]);
    }
}

Nous connaissons à présent le fonctionnement des contrôleurs et comment ces derniers communiquent avec la vue pour afficher nos données à l’utilisateur. Nous allons maintenant pouvoir afficher les premières pages de notre projet Jobeet. Commençons par la page de listing des offres d’emploi.

Créons pour cela un contrôleur dédié à la gestion des offres et ajouter une méthode pour récupérer les offres disponibles.

<?php // src/Controller/JobController.php

namespace App\Controller;

use App\Entity\Job;
use Doctrine\ORM\EntityManagerInterface;
use Symfony\Bundle\FrameworkBundle\Controller\AbstractController;

class JobController extends AbstractController
{
    public function index(EntityManagerInterface $em)
    {
        $jobs = $em->getRepository(Job::class)->findAll();

        return $this->render('job/index.html.twig', [
            'jobs' => $jobs,
        ]);
    }
}

Nous injectons ici un objet de type EntityManagerInterface directement dans notre méthode grace à l’autowiring (Symfony va détecter et injecter l’instance de l’objet qui implémente l’interface).

L’autowiring fonctionne avec une interface uniquement s’il n’existe qu’une seule classe qui implémente l’interface en question. Si deux classes implémentent la même interface, Symfony ne sera pas capable de savoir quelle instance injecter.

L’EntityManager est l’objet Doctrine qui permet de manipuler nos entités. Dans notre code, nous demandons une instance du repository (c’est-à-dire la classe qui permet de faire les requêtes en base de données) de notre entité Job pour ensuite récupérer la liste des emplois disponibles.

Doctrine fournit un ensemble de méthodes par défaut permettant de récupérer nos objets persistés. Signalons entre autres les fonctions find, findBy, findOneBy et findAll.

Ajoutons la vue qui va afficher nos résultats :

<!-- templates/job/index.html.twig -->

<!DOCTYPE html>
<html>
    <head>
        <meta charset="UTF-8" />
        <title>Jobeet - Liste des jobs</title>
        <link rel="icon" type="image/x-icon" href="{{ asset('favicon.ico') }}" />
    </head>
    <body>
        <ul>
            {% for job in jobs %}
                <li>{{ job.position }}</li>
            {% endfor %}
        </ul>
    </body>
</html>

Pour afficher la page, il sera nécessaire de modifier le fichier de configuration config/routes.yaml en modifiant le contrôleur devant être appelé.

L’exemple ci-dessus nous permet de découvrir de nouveaux éléments du langage de Twig. Tout d’abord, les instructions d’itérations qui nous permettent de parcourir des données de type array ou plus généralement des données iterable de PHP. Il s’agit d’une boucle for permettant de parcourir une liste d’éléments.

Nous constatons également qu’il est possible de passer à notre template Twig des instances d’objets et d’accéder aux propriétés de ces derniers avec l’opérateur . (cela fonctionnement également pour accéder à des tableaux).

Bien que la propriété position de notre objet Job soit privée, Twig parvient à afficher cette dernière. Twig possède un mécanisme qui va automatiquement trouver la méthode get associé à la propriété si cette dernière n’est pas accessible directement (si elle n’est pas public). Il est toutefois possible d’appeler directement la méthode getPosition() ou n’importe quelle autre méthode depuis notre template.

Pour le moment nous avons copié la totalité de la structure HTML dans notre fichier. Pour éviter d’avoir à dupliquer de nombreuses lignes de code dans tous nos templates, nous allons mutualiser le code qui va être commun à toutes les pages.

Si vous jetez un oeil aux fichiers qui ont été ajoutés dans le dossier templates par Flex lors de l’installation de Twig, vous noterez la présence d’un fichier base.html.twig.

<!-- templates/base.html.twig -->

<!DOCTYPE html>
<html>
    <head>
        <meta charset="UTF-8" />
        <title>{% block title %}Jobeet{% endblock %}</title>
        {% block stylesheets %}{% endblock %}
    </head>
    <body>
        {% block body %}{% endblock %}
        {% block javascripts %}{% endblock %}
    </body>
</html>

Ce fichier correspond à un template qui a vocation de définir la mise en page globale de notre application. Twig fonctionne sur le principe d’héritage. Cela signifie que vous allez pouvoir définir des templates qui contiendront des éléments qui pourront ensuite être surchargés dans d’autres templates. Pour cela, Twig utilise un système de blocs (block).

Utilisons le fichier templates/base.html.twig pour définir la mise en page de Jobeet. Pour commencer, nous allons étendre ce dernier dans notre template templates/job/index.html.twig et surcharger le bloc body pour y faire apparaître notre contenu :

<!-- templates/job/index.html.twig -->
{% extends "base.html" %}

{% block body %}
    <ul>
        {% for job in jobs %}
            <li>{{ job.position }}</li>
        {% endfor %}
    </ul>
{% endblock %}

Si vous rechargez la page, le résultat devrait être identique, mais nous avons beaucoup moins de code dans notre template, qui se concentre maintenant uniquement sur une tâche bien précise : afficher notre liste d’offres d’emploi.

Pour que nous interfaces soient un plus agréables à utiliser, nous allons y ajouter un peu de style avec du CSS. Pour gagner du temps, nous allons utiliser le framework boostrap au travers de ce thème https://startbootstrap.com/template-overviews/1-col-portfolio/ .

Une fois les fichiers téléchargés, nous allons placer les différents fichiers CSS et Javascript dans le dossier public (car ces derniers doivent être desservis par le serveur HTTP). Nous les organiserons dans un dossier vendor comme vous pouvez le voir dans le dépôt Github.

Commençons ensuite par modifier notre mise en page globale :

<!-- templates/base.html.twig -->

<!DOCTYPE html>
<html>
    <head>
        <meta charset="UTF-8">
        <meta name="viewport" content="width=device-width, initial-scale=1, shrink-to-fit=no">
        <title>{% block title %}Jobeet{% endblock %}</title>
        <link rel="stylesheet" href="/vendor/bootstrap/css/bootstrap.min.css">
        <link rel="stylesheet" href="/vendor/1-col-portfolio.css">
        {% block stylesheets %}{% endblock %}
    </head>
    <body>
        <nav class="navbar navbar-expand-lg navbar-dark bg-dark fixed-top">
            <div class="container">
                <a class="navbar-brand" href="#">Jobeet</a>
                <button class="navbar-toggler" type="button" data-toggle="collapse" data-target="#navbarResponsive" aria-controls="navbarResponsive" aria-expanded="false" aria-label="Toggle navigation">
                    <span class="navbar-toggler-icon"></span>
                </button>
            </div>
        </nav>

        <div class="container">
            {% block body %}{% endblock %}
        </div>

        <script src="/vendor/jquery/jquery-3.2.1.slim.min.js"></script>
        <script src="/vendor/popper/popper.min.js"></script>
        <script src="/vendor/bootstrap/js/bootstrap.min.js"></script>
        {% block javascripts %}{% endblock %}
    </body>
</html>

Nous conservons les blocs Twig stylesheets et javascripts même si nous ne les utiliserons pas pour le moment. C’est dernier seront utiles à l’avenir pour inclure des fichiers CSS ou Javascript spécifiques à certaines vues.

Pour finir, mettons en forme la présentation de nos offres d’emploi :

<!-- templates/job/index.html.twig -->
{% extends "base.html.twig" %}

{% block body %}
    <h1 class="my-4">Liste des offres</h1>

    {% for job in jobs %}
        <div class="row">
            <div class="col-md-7">
                <a href="#">
                    <img class="img-fluid rounded mb-3 mb-md-0" src="/images/{{ job.logo }}" alt="{{ job.company }}">
                </a>
            </div>
            <div class="col-md-5">
                <h3>{{ job.position }}</h3>
                <p>{{ job.description }}</p>
                <p>Posted on {{ job.createdAt|date("m/d/Y") }}</p>
                <a class="btn btn-primary" href="#">See more</a>
            </div>
        </div>

        <hr>
    {% endfor %}

    <ul class="pagination justify-content-center">
        <li class="page-item disabled">
            <a class="page-link" href="#" aria-label="Previous">
                <span aria-hidden="true">&laquo;</span>
                <span class="sr-only">Previous</span>
            </a>
        </li>
        <li class="page-item">
            <a class="page-link" href="#">1</a>
        </li>
        <li class="page-item disabled">
            <a class="page-link" href="#" aria-label="Next">
                <span aria-hidden="true">&raquo;</span>
                <span class="sr-only">Next</span>
            </a>
        </li>
    </ul>
{% endblock %}

Les images liées à notre jeu de données sont disponibles directement dans les sources de ce billet.

Et voilà le rendu final de notre application Jobeet :

Retrouvez tous les tutorials Jobeet disponibles depuis le billet d’introduction de la série. Le code source de cette application est également disponible sur Github. Vous trouvez une branche associée à l’état du projet après chaque chapitre.